Les démarches pour relancer avec tact sa candidature à un emploi

job-search

Relancer un recruteur après un entretien n’est jamais simple. En effet, il faut le faire au bon moment, de la bonne façon et pour les bonnes raisons. Voici quelques conseils en ce sens.

Quel est le bon moment pour faire une relance ?

Le timing est d’une importance cruciale dans une relance. Si un mail de remerciement peut être envoyé au recruteur dans les 48 heures qui suivent l’entretien, le mieux est d’attendre plus longtemps pour une relance. Dans l’idéal, il ne faut relancer le recruteur que s’il ne donne pas de suite après la date butoir qu’il a donnée. S’il n’a donné aucune date, un délai d’une dizaine de jours est à respecter s’il s’agit d’une grande structure et d’une semaine pour une PME.

Comment faire une relance sans paraître trop insistant ni désespéré ?

Le plus souvent, une relance peut se faire soit par téléphone, soit par mail. Chaque canal a ses avantages et ses inconvénients. Une relance téléphonique a par exemple l’avantage d’instaurer un rapport plus direct et plus humain. De plus, cela permet d’avoir une réponse plus rapidement, parfois même immédiatement. Si tant est toutefois que l’on arrive à joindre le recruteur et que l’on n’appelle pas au mauvais moment. Le mail par contre offre un moyen de bien structurer ses pensées et ses arguments. Il doit toutefois être concis et une force de proposition.

Pourquoi faire une relance ?

Preuve de motivation de la part d’un candidat, la relance doit être faite de manière réfléchie et avec tact. Elle permet d’optimiser les chances d’obtention d’un poste si le recruteur n’a pas encore fait son choix. Pour ce faire, elle doit être sincère et spontanée.

En cas de réponse négative, il ne faut pas hésiter à demander les raisons et quoi qu’il en soit, à maintenir une bonne relation avec le recruteur.




Ajouter un commentaire