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29 janvier 2018 | 
8:10 | 
La 51e édition du CES ou Consumer Electronic Show à Las Vegas était le grand rendez-vous mondial de l’innovation à ne pas rater cette année. Avec plus de 3900 exposants, 140 nationalités représentées et 180 000 visiteurs, l’événement a été, comme chaque année, riche en innovations technologiques destinées à toutes sortes d’utilisations.
Petit bilan de l’événement
Écrans souples et toujours plus fins, appareils photo et smartphones nettement plus performants, drones plus intelligents et autonomes, puces électroniques plus petites, pour cette 51e édition, les marques se sont dépassées. Au-delà de ces quelques « constats d’entrée », d’autres innovations technologiques ont également marqué l’événement. Parmi elles, il y a l’intégration de l’Intelligence artificielle au quotidien, dans la cuisine par exemple, à l’hôpital et même dans les supermarchés.
Le salon a également mis en avant les objets connectés, qui donneront désormais des conseils personnalisés, et ce, dans tous les domaines : santé et maison entre autres. Outre la démocratisation des appareils connectés dans le domaine de la santé, l’acquisition de fonctions des robots, qui viennent assister les hommes, a également marqué l’événement. Ils peuvent désormais servir d’assistants, se charger de la livraison d’objets ou éventuellement jouer au ping-pong avec vous.
Ces innovations technologiques qui valent le détour
Le téléviseur OLED de la marque LG fait sans nul doute partie des créations technologiques les plus impressionnantes de ce salon. Outre sa taille de 88 pouces et sa « très » haute définition 8K, cet écran LG s’équipe d’une intelligence artificielle, capable de reconnaître des millions de vidéos et de les convertir en 8K. Sa diagonale de 223 cm permet par ailleurs à ce téléviseur de proposer une image de 7680 x 4320 pixels, soit environ 33 millions de pixels.
Pouvant transporter jusqu’à deux personnes en même temps, le drone taxi autonome Volocopter est une autre révolution technologique marquante du CES. Ce drone, proposé par la start-up allemande E-volo tire son autonomie d’un logiciel de contrôle spécifique fabriqué par Intel.